La fatwa historique, la réaction révolutionnaire : une publication marquante

L'Institut de compilation et de publication des œuvres de l'Imam Khomeini vient de publier un ouvrage intitulé « L'Édit historique, la réaction révolutionnaire : l'impact du décret politico-divin de l'Imam Khomeini concernant le livre "Les Versets sataniques" au sein du Parlement ». Cet ouvrage remarquable rassemble, organise et résume les débats parlementaires de la République islamique, de la troisième à la septième législature. Rédigé par l'éminent chercheur Monsieur Gholamreza Kharkohi, le livre expose avec clarté les perspectives et les décisions des députés concernant cette question particulièrement sensible.

Un grand guide spirituel au service de quelques adolescents

Hommage à Sayyed Hassan Nasrallah : Un leader rationnel, diplomate et visionnaire

Sayyed Hassan Nasrallah était un leader d’une rationalité et d’une modération exemplaires. Il a toujours choisi la voie du dialogue et de la diplomatie, tout en restant ferme face aux pressions extérieures. Son soutien à l’accord nucléaire iranien (JCPOA) et son rôle clé dans la résolution de la guerre de 33 jours au Liban en 2006 témoignent de son engagement en faveur de la paix et de la stabilité régionale. Nasrallah n’était pas seulement un commandant militaire compétent, mais aussi un penseur stratégique et un défenseur de l’unité entre les communautés chiites et sunnites. Son héritage continue d’inspirer des millions de personnes à travers le monde.

La mission divine et la lutte contre le sécularisme : L'héritage spirituel et politique de l'Imam ...

Le petit-fils de l’imam Khomeini : Nous ne sommes pas chargés de faire quoi que ce soit qui conduise les gens à se détourner de la religion. « L'Association Hojjatieh » était l'autre face du sécularisme, et l'Imam considérait cette mouvance comme son principal ennemi. La voix de ce courant se fait à nouveau entendre. L'Ayatollah Seyed Hassan Khomeini : « Dieu nous a confié la mission d'utiliser toute la rationalité de notre époque, sans quoi nous tomberions dans un mysticisme passif et fuyant le monde. C'est pourquoi l'Imam s'appuyait sur toute la sagesse de son temps. »

Lettre historique du grand imam Khomeini (ra) à Mikhaïl Gorbatchev

Le premier jour de l'année 1989 - le 11 Dey 1367 - la célèbre et historique lettre de l'Imam Khomeini adressée à Mikhaïl Gorbatchev, le dernier président de l'Union soviétique, a été publiée. Elle traitait de la mort du communisme et de la nécessité pour la Russie de se détourner de l'Occident.

Le legs du général Soleimani : Entre résistance et sanctuaires sacrés - Un discours marquant de ...

Lors de la cinquième commémoration du martyre de Soleimani, le Guide suprême a souligné : Certains, par manque d'analyse correcte, de compréhension adéquate et de connaissance nécessaire des enjeux, imaginent, expriment et peut-être propagent l'idée que suite aux récents événements régionaux, le sang versé pour la défense des sanctuaires a été vain ! Ils commettent une grave erreur ; si ces vies n'avaient pas été sacrifiées, si ce combat n'avait pas eu lieu, si Haj Qassem Soleimani n'avait pas parcouru avec bravoure les montagnes et déserts de cette région, entraînant [ces martyrs] avec lui, aujourd'hui il ne resterait rien de ces sanctuaires sacrés...

L'Imam Khomeini a-t-il exprimé une opinion sur la suppression de la condition de « marja'iyya » ...

L’Imam Khomeini, dans une lettre du 29 avril 1989, a affirmé que la condition de « marja'iyya » n’est pas nécessaire pour le leadership. Il estime qu’un mujtahid juste, approuvé par des experts élus par le peuple, suffit pour diriger la République islamique. (Source : Sahifeh-ye Imam, vol. 21, p. 371)

Quelle est l'opinion de l'Imam Khomeini sur la présence des femmes dans des postes clés du pays ?

L'Imam Khomeini (ra) considérait que dans le système islamique, les femmes jouissent des mêmes droits que les hommes, tels que le droit à l’éducation, au travail, à la propriété, au vote et à l’éligibilité, tout en mettant en avant la nécessité de préserver leur dignité. Bien que certains postes, comme juge ou imam de prière, leur soient interdits selon le consensus juridique, l’Imam, en tant que juriste usuli, prônait une approche basée sur les principes de la jurisprudence islamique et les réalités sociétales. Politiquement, il valorisait la participation des femmes, autorisant leur accès à des postes clés comme ministre, gouverneur ou préfet, bien que la Constitution impose des restrictions à la présidence. Il considérait néanmoins la Constitution comme évolutive, encourageant sa révision pour répondre aux besoins de son époque.