Le régime pahlavi s’imaginait qu’il a stoppé la révolution islamique avec le massacre de la population du 8 septembre, or, ne seulement ce n’était pas le cas, mais les rangs des opposants au régime s’étaient renforcés de plus en plus. L’action criminelle du régime pahlavi le vendredi noir, a fait beaucoup de morts et de blessés. Ce drame est considéré comme le facteur de l’ébranlement des pivots du régime pahlavi, de sorte que la profondeur du drame était telle que Shah a perdu les rênes de la politique et le contrôle de la situation interne du pays. Le massacre de la population n’avait non seulement pas permis à Shah de trouver le calme, mais a mis également l’Iran face à de nombreux troubles et a amplifié la colère de la population. Le résultat de cette colère était des manifestions et des soulèvements qui étaient au désavantage du régime pahlavi. Dans l’intervalle, les politiques de réconciliation nationale a connu l’échec et le projet d’écarter le Shah a été annoncé.