D’après l’art. 14 de la quatrième convention de Genève 1949, les meurtres arbitraires, les persécutions ou des traitements inhumains volontaires entraînant de graves supplices et de sérieux préjudices sur le corps ou sur la santé des individus, sont considérés comme une violation de la convention et comme un crime de guerre. Malgré cela, le massacre et la persécution des enfants palestiniens de moins de 18 ans continuent et s’accentuent de jour en jour.
D’après l’art. 38 de la quatrième convention de Genève, l’Israël en tant qu’état envahisseur a été contraint de procurer des moyens médicaux et de soins pour les citoyens palestiniens. Cependant, non seulement il n’a pas respecté ses engagements et ses obligationsà ce propos, mais il a plutôt au cours de ces derniers années renforcé les restrictions visant à empêcher les palestiniens à avoir accès aux centres de santé. Cet acte dans beaucoup de cas a eu des conséquences dangereuses.
En plus des cas et des éléments qui ont été exposés dans le cadre de la violation des droits de l’homme en Palestine, nous sommes quotidiennement témoin d’autres actions criminelles de la part d’Israël qui s’opèrent dans l’ombre des restrictions imposées aux palestiniens. Parmi les plus fondamentales, nous pouvons citer : La construction d’un mur d’empêchement, la restriction des allées et venues à travers les postes de contrôles et l’usage des méthodes d’intimidation et de terreur.
Est-ce que personne n’entend le cri des opprimés palestiniens face aux crimes odieux du régime sioniste israélien ?