Vous les gardiens de la révolution, vous êtes comme les jeunes des débuts de l’islam…
Vous les gardiens de la révolution, vous êtes comme les jeunes des débuts de l’islam. (Sahifeh-ye Noor, vol. 5, p. 145) Vous êtes comme les soldats des débuts de l’islam qui servaient l’islam avec leurs cœurs, amour et affection. Vous avez servi l’islam, et vous continuez de le faire. J’espère que Dieu vous offrira la même récompense qu’il a offerte aux soldats des débuts de l’islam. (Sahifeh-ye Noor, vol. 6, p. 5)
Le pouvoir et l’épreuve :
Le CGRI partout où qu’il se trouve, le pouvoir dans ses mains est une épreuve. Tous ceux qui ont un instrument pour servir, cet instrument est en même temps une épreuve pour eux. (Sahifeh-ye Noor, vol. 18, p. 212)
Le gardien de l’islam et de la révolution :
Si vous, les gardiens, qui maintenant détenez le pouvoir, faites quelque chose qui est contraire à vos obligations de gardien, alors vous ne serez plus les gardiens de l’islam et de la révolution, vous serez les gardiens de vos propres désirs et envies, vous agirez en fonction de vos passions et vous vous plierez aux promesses sataniques. (Sahifeh-ye Noor, vol. 8, p. 13)
La dignité et la popularité à condition de choisir la voie de l’islam :
Les gardiens de la révolution, qui sont les personnes les plus aimées du pays, doivent penser à préserver leur popularité. Si cela n’est pas préservé, ils vont pourrir, disparaître et détruire. Et sa préservation passe par le choix de la voie de l’islam. (Sahifeh-ye Noor, vol. 17, p. 165) Le gardien de l’islam doit lui-même être islamique. (Sahifeh-ye Noor, vol. 12, p. 191)
Serviteur :
Recommandez toujours au CGRI de se considérer comme un serviteur du peuple et non comme un non-serviteur. Ce qui est important dans cette république après la préservation de la cause de l’islam, c’est qu’il n’y ait pas de conflit et de discorde entre le CGRI, le peuple et l’armée.
Un musulman doit comporter humblement avec tous et se considérer inférieur vis-à-vis des autres. Considérez le pays le vôtre et considérez les gens démunis comme vos frères aînés. Le peuple ne prive pas le CGRI de son enthousiasme. Le Corps des gardiens de la révolution doit être conservé et préservé avec sa popularité, et la voie c’est d’être tendre et doux avec le peuple. (Sahifeh-ye Noor, vol. 18, p. 62)
Mon testament explicite :
Mon testament strictaux forces armées est d’agir conformément aux règlements de l’armée qui prévoient que l’armée ne devrait pas s’ingérer dans les affaires des partis politiques et des groupes. Les forces armées, qu’il soit militaire, policier, gardien de la révolution, mobilisé et autres, ne devraient pas appartenir à un parti politique et devraient rester loin des jeux politiques. C’est ainsi qu’elles pourront protéger leur pouvoir militaire et rester à l’abri des conflits internes des partis politiques. (Sahifeh-ye Noor, vol. 21, p. 193) Vous devez éviter d’inclure les intérêts politiques dans le CGRI, car si les intérêts politiques entrent dans le CGRI, ses objectifs militaires disparaîtront. (Sahifeh-ye Noor, vol. 18, p. 68) Il n’est pas permis à l’armée, au CGRI et aux forces de sécurité et militaire d’appartenir à un parti politique. (Sahifeh-ye Noor, vol. 16, p. 78