Le Portail de l'Imam Khomeini (ra) : L'héritier de l'Imam, en soulignant que la révolution islamique a été formée pour la dignité, a déclaré : « Demain est le jour de la très importante marche du 22 Bahman. Insha'Allah, tous les nobles Iraniens, où qu'ils soient, comprendront la sensibilité de ce jour, en particulier cette année, et avec une présence très significative à la marche, nous pourrons montrer l'unité et la cohésion de la nation iranienne face aux ennemis dont l'objectif est de s'opposer à la dignité, à l'indépendance, à la prospérité et à la liberté du peuple iranien. »
Ayatollah Seyyed Hassan Khomeini, lors d'une rencontre avec le maire et les gestionnaires municipaux de Téhéran, a déclaré : « Dieu dit dans le Coran que nous avons créé l'homme avec dignité. Différentes traductions de ce verset existent ; notamment que la différence entre l'homme et les objets est que les objets, et même nos actions, ont un prix, mais l'homme n'a pas de prix, il a de la dignité. »
L'héritier de l'Imam a ajouté : « Lorsque la dignité entre dans l'horizon national, elle devient "l'honneur" ; comme l'indépendance et la liberté, où l'indépendance est la liberté à l'échelle nationale. Un pays est indépendant lorsqu'il peut prendre des décisions librement en fonction de ses propres intérêts ; un individu est libre lorsque les autres ne lui imposent rien et qu'il est libre dans ses décisions. »
En soulignant que le début de la révolution islamique d'Iran visait à préserver la dignité dans l'affaire de la capitulation, il a déclaré : « Le point de départ de l'Imam avec le régime du Shah était basé sur la dignité et l'honneur. Il disait qu'il est inacceptable qu'un simple soldat américain jouisse de l'immunité judiciaire, ce qui signifie que quoi qu'il fasse, vous ne pouvez pas le juger. La première histoire est celle de la dignité du peuple iranien, et c'est de là que tout commence. La deuxième histoire concerne Israël, c'est-à-dire la dignité de la communauté islamique et du peuple musulman. Bien sûr, nous ne devons pas nous attendre à ce que vous et moi recherchions la dignité tandis que les autres ne le feraient pas ; ne commettez pas d'injustice et ne vous soumettez pas à l'injustice. »
Seyyed Hassan Khomeini a affirmé : « La ligne principale de la révolution est la préservation de la dignité, de l'honneur et de la noblesse. Le deuxième point est de savoir si cette dignité est respectée dans le monde ? Si vous ne le voulez pas vous-même, non. Le monde est un monde dur ; parfois le vent souffle en faveur de quelqu'un, et parfois il ne souffle pas ; un jour le vent est favorable, un autre jour il est contraire. »
Il a insisté : « La révolution islamique a été formée pour la dignité, et nous devons veiller à ce que cette dignité ne soit pas perdue. L'un des plus grands acquis de la révolution est précisément cette dignité et cet honneur. D'ailleurs, ce qui a dérangé les gens après la révolution constitutionnelle, c'est cela. Le fait que la révolution constitutionnelle ait été façonnée dans une ambassade étrangère est amer ; pour rejeter la tyrannie intérieure, on s'est réfugié dans le colonialisme étranger. C'est une erreur ! L'histoire de l'Iran est marquée par cette lutte contre la tyrannie et le colonialisme ; d'un côté, la dignité individuelle est remise en question à cause de la tyrannie, et de l'autre, notre dignité nationale est remise en question à cause du colonialisme. »L'héritier de l'Imam a déclaré : « L'une des plus grandes causes de la révolution est la construction de la dignité, et l'une de ses plus grandes luttes est contre la destruction de cette dignité. Nous devons également garder à l'esprit que, comme toutes les bénédictions divines, tant que l'on possède une bénédiction, on ne la réalise pas pleinement. Vous avez la sécurité, mais vous ne comprenez pas ce que vous avez ; ce n'est que lorsqu'elle disparaît que vous le réalisez. Lorsque nous avons compris que les décisions et les allées et venues des rois d'Iran étaient dictées par des puissances étrangères, c'est une douleur très profonde. Les gens ne le ressentaient pas à l'époque, et aujourd'hui nous disons que la situation financière et économique doit s'améliorer ; et elle doit s'améliorer. »
Dans une autre partie de son discours, il a ajouté : « Les services dans le pays doivent avant tout être orientés vers les démunis et les opprimés. Ce qui pousse une société à se soulever, ce n'est pas la pauvreté en soi, mais l'oppression. L'oppression, c'est quand je suis pauvre et que je dis que tu as volé mon droit, et que je te réclame ce qui m'est dû. L'oppression équivaut à la révolte, à la colère et à l'agressivité, car la personne attribue sa pauvreté à l'injustice des autres. Par conséquent, cet aspect doit être davantage pris en compte. »
Seyyed Hassan Khomeini a conclu en soulignant que demain est le jour de la très importante marche du 22 Bahman : « Demain est le jour de la très importante marche du 22 Bahman. Insha'Allah, tous les nobles Iraniens, où qu'ils soient, comprendront la sensibilité de ce jour, en particulier cette année, et avec une présence très significative à la marche, nous pourrons montrer l'unité et la cohésion de la nation iranienne face aux ennemis dont l'objectif est de s'opposer à la dignité, à l'indépendance, à la prospérité et à la liberté du peuple iranien. »