Le vent de Nowrouz a soufflé dans les champs et montagnes
On porte les vêtements de la fête, soit le riche soit le pauvre
Le rossignole des jardins du Paradis ne saurait pas se joindre à l’Ami
Je glorifie notre chanteur mystique qui a su reconnaître la direction de l’Ami
Le soufi et le mystique, ils se sont retirés de ce désert
Prends la coupe du chanteur mystique, va-t-en en direction de Safâ
Pendant la fête, les gens se rendent au champ et au jardin
Moi, enivré que je suis, je me dirige de la taverne vers le Dieu
Heureuse soit la fête de Nowrouz aux riches et aux pauvres
O Bien-aimée ! Des portes de la taverne, ouvres-en une !
Si l’on me laissait passer auprès du vieux de la taverne
Je m’y rendrais avec enthousiasme, précipitamment
Pendant de longues années, j’étais au nombre des enturbannés
Depuis mon union avec la bien-aimée, je veille à ce que cette faute ne se reproduise plus
Poésie de l'Imam Khomeiny